TMS / troubles musculo-squelettiques au travail
Fléaux du 21eme siècles, leurs nombres ont explosé ces 20 dernières années, dont les causes sont multifactorielles, comme par exemple, le management, les trajets, le contenu des tâches, ou la quête de sens de son métier. Également, La sédentarisation des professions pèserait lourd dans l’explication, avec deux fois plus de métier assis en 20 ans, et 30% supplémentaires de temps assis quotidien.
Les TMS, c’est tout simplement la « bobologie » du quotidien, celle qui occupe 80% de la médecine du travail, et même des cabinets de ville dont la kinésithérapie et l’ostéopathie. La colonne, les épaules, coudes, poignets, constituent la majorité de ces troubles.
Nous devons tout de même affirmer un point très pertinent dans l’analyse, c’est que le mode de vie de l’individu influence considérablement les TMS, et peut être parfois en est la cause primaire. Pour améliorer les TMS, car ils sont globalement tous peu dramatiques et réversibles, l’éducation aux meilleurs modes de vie sont une source de mieux être puissant, et durable. Devenir acteur de sa santé avec discipline en s’organisant une routine quotidienne sur l’incontournable trio : Tête – assiette – basket.
Pour agir, l’entreprise peut proposer des actions autres que l’ergonomie, qui est, pour ce dernier, en soit bien intégrée à ce jour, mais qui n’est que la base d’une prévention, avec une puissance mieux être modérée. Alors que, favoriser l’activité physique, éduquer à la pratique de mouvements et des étirements, pratiquer l’échauffement articulaire, proposer des salles de détentes actives, coacher les troupes sur la voie d’un bon mode de vie, tout cela, ouvrent les portent du chemin le plus puissant en termes de prévention, de bien-être et in fine, de la satisfaction de son métier, une d’une alchimie gagnante/gagnante.
Toutes les études et expériences convergent vers le même constat, à savoir, que l’investissement de 1 euros dans la santé et le confort des salariés, c’est l’assurance d’un retour de rentabilité de 4 euros au minimum. Seulement 20% des entreprises ont commencée, parfois timidement, le processus. Le chemin et le changement de mœurs est enclenchée, et s’avère encore long, mais les espoirs sont encourageants au vu des multiples retours ultra positifs.
Julien ALEXANDRE
Kinésithérapeute ostéo-articulaire/Formateur/Coach sante en entreprise
Avec : www.physiostretch.fr, les produits d étirements Français